Les acquéreurs face a la transition énergétique

75% des français aujourd’hui sont soucieux de l’impact environnemental de leur logement mais pour autant ils ne sont que 4% à positionner ce critère parmi les 11 plus importants pour définir le choix de leur logement. Entre 35 et 59 ans, 67% des propriétaires seraient pourtant prêts à engager des travaux de rénovation énergétique.

Fort de ce constat, Finance Conseil a décidé de lancer un partenariat avec Sonergia, société spécialiste depuis dix ans dans l’accompagnement des clients pour financer leurs travaux de rénovation énergétique grâce aux primes Certificats d’Economies d’Energie (CEE).

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Le rôle du courtier dans l’accompagnement de la transition énergétique

Le moment de l’achat est idéal pour envisager les travaux de rénovation énergétique et bien souvent notre clientèle nous interroge sans savoir vers qui se tourner. Il nous est apparu essentiel de pouvoir les orienter vers un partenaire qui pourra les aider. En tant que courtier en crédit immobilier, nous avons un rôle clé à jouer dans l’accompagnement de la rénovation énergétique des logements, prioritairement sur les 4,8 millions de biens immobiliers notés F ou G.

déclare Sophie Ho Thong, directrice de la stratégie et de la communication.

Finance Conseil recherche en complément des aides de l’Etat, des financements auprès de ses partenaires pour les particuliers et les professionnels, et peut même proposer un regroupement de crédits qui permettra aux clients d’intégrer les travaux là où leur endettement ne le permettrait pas.

 

Distribution de crédits et transition énergétique

Pour nos clients, une rénovation énergétique améliore le confort de vie, permet de réaliser des économies d’énergie, et augmente également significativement la valeur du bien immobilier. Selon la dernière étude réalisée par les Notaires sur la valeur verte des logements, la plus-value après travaux peut atteindre 20%.

Dans les mois à venir, la valeur verte d’un bien sera prise en compte dans l’analyse d’octroi d’un crédit immobilier et le taux accordé par la banque pourra dépendre du DPE ou de l’engagement des acquéreurs à effectuer les travaux de rénovation globale. Cette approche deviendra très certainement un argument de négociation à l’égard de nos partenaires bancaires dans la mesure où l’augmentation de la valeur du bien couplée à une baisse importante des charges contraintes, diminue le risque endossé par nos partenaires bancaires

estime-t-elle.

Cela permettrait de favoriser la vente de biens à faible dépense énergétique, et donc inciterait la rénovation des biens par les propriétaires. De surcroît, cette logique s’inscrit parfaitement dans l’approche proposée par la Banque Centrale Européenne dans son guide relatif aux risques liés au climat et à l’environnement qui déclare que « les dispositifs de tarification des crédits des établissements devraient refléter leur appétence pour le risque de prêts et leur stratégie en ce qui concernent les risques climatiques et environnement aux crédit ». Une approche concertée avec le Haut Conseil de la Stabilité Financière qui impose l’encadrement des critères d’octroi des crédits, serait la bienvenue si l’objectif du gouvernement est bien d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050

conclut Sophie Ho Thong.

 

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